Or, si elles consacrent déjà en moyenne moins de temps que les hommes aux activités physiques et sportives (APS)* par manque de temps ou de confiance, la maternité, avant comme après l’accouchement, reste trop souvent la période de leur vie où les femmes diminuent, voire arrêtent toute pratique sportive.
Une APS modérée et régulière, pendant la grossesse notamment, permet pourtant de réduire de manière significative le risque d’accouchement prématuré ou encore le risque ultérieur de surpoids, voire d’obésité et présente de véritables bénéfices pour le fœtus.